Je
ne crois pas entre le sublime de l’émotion et la
tyrannie de le ciel, l’agencement ne restera pas les briques de médiocrité. Ainsi les miasmes de velours incertains
vacilleront comme à des herbes feuilletées par le vent ainsi qu’un livre pourri parcouru par des doigts pareils à des colombins mulâtres. Prends
ta crinière et mène-la donc près de la falaise aux lueurs de soleil éternel, récite, litane, priérois, suplicationne, avec le sang sur tes mains épanchées
par le vin.
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Certes vous n’avez pas bien compris. Alors désormais relisez avec un accent slave… :
Je ne crois pas entre le sublime de l’émotion et la tyrannie de le ciel, l’agencement ne restera pas les briques de médiocrité. Ainsi les miasmes de velours incertains vacilleront comme à des herbes feuilletées par le vent ainsi qu’un livre pourri parcouru par des doigts pareils à des colombins mulâtres.
Prends ta crinière et mène-la donc près de la falaise aux lueurs de soleil éternel, récite, litane, priérois, suplicationne, avec le sang sur tes mains épanchées par le vin.
—
Hum toujours rien ? Le plus étonnant, je crois, c’est que vous vous étonniez que quelque chose n’ait pas de sens tandis que tout ce qui vous entoure est déjà absurde. D’autant que c’est un extrait de traité alchimique codé du 13° siècle traduit mot à mot du grec au français moderne : le vide de sens c’est votre compréhension !
… ou mes mensonges.
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« Je préfère finalement parler aux esprits, ils existent davantage que les vivants. Et je préfère parler aux chats et même aux chiens, ils comprennent mieux que les humains. »
Miss Stiple
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