Le sel de la vue, du sable dans les yeux, des aiguilles crevées de heresie On 18 mai 2014 dans Non classé Au bord du monde, en attendant d’être le dernier, toiser la frontière de l’Infini avec un amer dédain. Please follow and like us: 0 2020 Précédent M’entendez-vous ? Suivant Tremblez tous, ils arrivent Laisser un commentaire Annuler la réponseVous devez être connecté pour publier un commentaire.
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