Préfaces Claude Seignolle

Traduit de l'anglais par Jacques Papy. Préface de Claude Seignolle. Lithographies originales de Gérard Gachet. Strasbourg, Société alsacienne d'éditions et de diffusion d'art, (achevé d'imprimer le 10 septembre 1979) In-f°. En ff. Sous couv. titrée. 32 lithographies originales de G. Gachet. Tirage à 200 ex. + qqs h.c. Exemplaire n°47 sur vélin d'arches comportant 1 lithographie originale sur Grand Style gris perle, 1 lithographie originale sur Romana beige et une suite sur Japon nacré. 

 

 

 

 

 

 

Boutet, Gérard, ‎La petite histoire de la Sologne et de ses alentours‎, 1981, 192 p. ‎Avant-propos de Claude Seignolle.‎

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le Maquis de Souesmes en Sologne
Enquête sur un combat héroïque de la Résistance
préface de Claude Seignolle
Royer éditeur 1992

 

Il ne faut jamais réveiller les légendes, Paris, Les Silènes, 1993, Préfaces de Claude Seignolle,

L’avant-dernier et le dernier voyage de Jean Ray, Bruxelles, 1964
Mise en garde en guise de préface (Grand Albert), Paris, 1965
Mon ami Thomas (hommage à Thomas Owen), Bruxelles, 1966

 

 

 

 

 

 

John Flanders-Jean Ray, l’unité double.‎ Editions Hêtre Pourpre / Collection La Bibliothèque d’Alice 1997

Histoires mystérieuses des trésors enfouis de Didier Audinot, Préface : Claude Seignolle, Grancher , 2005

Le Grand et le Petit Albert, Le Pré aux clercs 2008, Albert de Groot, Préface : Claude Seignolle

Le Grand et Le Petit Albert, deux fameux traités de magie noire et de sorcellerie, doivent être considérés comme des ouvrages dont la lecture n’est pas sans danger : ils s’adressent de préférence aux initiés car les recettes secrètes qu’ils révèlent comment vaincre la chance, être heureux en amour, retrouver les affections perdues, acquérir .1a santé, construire sa fortune, se défendre contre ses ennemis peuvent devenir des armes redoutables entre les mains des profanes. On apprendra à changer le plomb en or fin, à confectionner toutes sortes de talismans, à élaborer des parfums, voir en songe la personne que l’on va épouser, à avoir de la chance aux jeux, à récupérer un pucelage perdu, à soigner ses maux…

Les soufflants du bonnet – Fabliaux et contes drolatiques. L’Hydre Editions (16 octobre 2007)

Philippe Legendre-Kvater Claude Seignolle (Préfacier)

Philippe Legendre-Kvater, auteur-illustrateur, est aussi peintre-graveur. Ses fabliaux sont inspirés par ses peintures, ou parfois, ce sont les textes qui donnent naissance à des images fantasques.

Philippe Legendre à pris la plume, celle que l’on trempe dans l’encre dissipée prête à se livrer à un jeu de flashs littéraires, déroutant délire de mots ! C’est un foyer ronflant alimenté de petits fagots de fabliaux, historiettes ou textes inattendus et inclassables par leurs pirouettes de situations. C’est plein d’inventivité sorties des délires de son imagination gargouillante. Puis il a dessiné et avivé de couleurs chaque personnage mis en scène, mi-humain, mi-fantastique. C’est inventif, torturé, cocasse et complète idéalement l’élan soutenu de ce petit livre magique, hors norme, à lire à petites goulées directement au tonneau dont on réouvrira souvent le robinet pour s’enivrer de leurs meilleures doses de vertiges.

 

Quand je serai grand, je serai mort, Editions Les 2 Encres, 2008

Nicolas Liau (Auteur), David Dunais (Préface), Claude Seignolle (Introduction)

La hantise de la mort pousse à toutes les folies… Ici, une fillette amuse de ses chansons le cadavre d’un pendu, une veuve voit sa maison peu à peu envahie par l’odeur de la putréfaction, un simple d’esprit cache la dépouille de son père dans une soupente. Là, un vagabond jette son cœur à des chiens errants, deux gaillards jouent aux osselets au milieu d’un cimetière, un vieux solitaire trouve un œil de verre clans son jardin. Là encore, un scieur de bois trempe ses mains dans le sang des arbres, un paysan piétine des sépultures pour s’enrichir, un poète enfouit son mal-être sous un masque à gaz. Plus loin, un reclus laisse une jeune flâneuse chuter dans un puits, une mourante joue de la viole à l’intérieur d’un couvent en ruine, un vieillard enfonce ses doigts dans les yeux d’une statue équestre. Là-bas, enfin, un jeune homme regarde ses rêves pourrir près d’une fontaine, un souffleur de verre fabrique d’étranges cercueils à ses cinq fils et deux amoureuses affrontent le vide au sommet d’un pigeonnier. Mourra bien qui mourra le dernier..

Contes et légendes d’Alsace, Place Stanislas Editions, 2009

Roger Maudhuy (Auteur), Claude Seignolle (Préface)

Pour la première fois, un ouvrage de référence est consacré aux légendes de l’ensemble de L’Alsace , du nord au suc : chaque canton est représenté par au moins une légende, soit plus d’une centaine de récits ! Grâce aux enquêtes menées depuis trente ans par Roger Maudhuy, aux visites des sites et lieux légendaires, aux rencontres avec de nombreux témoins de la tradition orale, l’ouvrage rassemble des légendes pour la plupart inédites et soigneusement vérifiées. Roger Maudhuy a également eu accès à un vaste ensemble de manuscrits inédits et notamment les chroniques de l’abbé Kramer de Niederhaslach (Alsace du Nord) et des comptes rendus d’enquêtes menées sur le terrain. Ce travail de recherche sur l’univers légendaire alsacien confère un caractère incontournable à cet ouvrage destiné à devenir le livre de référence. Accompagné d’une trentaine d’illustrations d’artistes des années 1900, « Contes et légendes d’Alsace » est appelé à figurer dans toutes les bibliothèques des lecteurs désirant connaître le passé légendaire de leur région.

La légende de la mort,  Anatole Le Braz, Archipoche, 2011. Préface : Claude Seignolle

La Bretagne regorge de légendes, de superstitions et de contes fantastiques, et je dois avouer être fasciné par la mythologie, les légendes et la mort, il y a tant encore à découvrir. Un des thèmes les plus abordés est la mort. Sa forme la plus représentative est celle de l’Ankou (son nom peut varier selon les régions, mais c’est toujours le même personnage). Cet ouvrier de la mort (oberour ar maro) est en fait, dans chaque paroisse, le dernier mort de l’année et il le reste jusqu’au dernier mort de l’année suivante et ainsi de suite. On le dépeint de biens des façons ; grand, maigre, les cheveux longs et blancs, la figure ombragée d’un large feutre… Dans tous les cas, il tient à la main une faux dont la tranchant est tourné vers l’extérieur. Il se déplace généralement dans une charrette (karriguel ann Ankou), comme celles qui servaient autrefois à transporter les morts, cette charrette est traînée par 2 chevaux attelés en flèche, celui de devant est maigre et arrive à peine à marcher, le second est gras et fort. L’Ankou se tient debout sur la charrette, il est escorté de deux hommes, l’un tient la bride du cheval de tête et l’autre ouvre les barrières et les portes pour ce convoi funeste, et empile aussi les morts que l’Ankou a fauché sur son chemin.

« Lorsqu’un mourrant trépasse les yeux ouverts, c’est que l’Ankou n’a pas fini sa besogne dans la maison, et il faut s’attendre à le voir revenir à bref délai pour quelque autre des membres de la famille. »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’ange de la mélancolie  –  2012

 

 

 

 

 

 

Un si pur souvenir, Yvonne Sévoz, 2013 & 2015

 

 

 

 

 

 

Louis le Galoup Tome 5, Le coeur de Tolosa, 2014

Jean-Mathias Xavier (Illustrateur) , Claude Seignolle (Préfacier)

L’ombre recouvre Tolosa… Derrière les murs de la ville rousse, le noir Vicomte, s’apprête à épouser Darne Stéphanie pour s’approprier ses pouvoirs, et noyer Occitània dans ses ténèbres…