Tu ne me sais pas encore remonter le long de ta jambe, grimper, encore et encore jusque là où tu ne pourras plus que t’agiter en vain, te gratter pour mieux m’énerver. Je te mordrai pour le principe, mais ce n’est pas là le meilleur : je ne me repais que de tes tremblements, je n’étanche ma soif qu’à la source de ta sueur froide. De mes pattes je caresserai ta peau, affectueusement, pourtant comme tu trembleras! Tu sauteras de ci de là, mais pas plus haut que moi. Et même quand je ne serai plus là mes pas fantômes tu ressentiras.
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