« Quand on m’a annoncé que mon épouse avait été retrouvée dévorée, cuisinée par un cannibale, les chairs et les os rongés, j’ai cru défaillir, je sentis comme une main glacée glisser dans mon dos, une dague se planter dans mon ventre. Mais tout passe, le chagrin, la peur, la rage…
– Mais je croyais que c’était vous qui l’aviez mangée?
– En effet. C’est que je croyais qu’ils venaient m’arrêter, mais ils étaient seulement passés m’annoncer la mort de cette bien fade femme. »
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour publier un commentaire.