Je mets ma main à couper qu’Alice ne s’enchainera jamais à cette maturité qui transforme les fertiles rêves en de stériles déserts
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Ma patte à couper que les gens ne changent pas : ils disparaissent.
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Ma jambe à couper que je remporte cette manche
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Ma patte à couper que jamais je ne troquerai ma liberté d’esprit ni mon honneur intime contre de l’estime d’autrui.
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